La vie, comme elle va

"S'il suffisait de lire comme dans une bulle de cristal, alors, ce serait, facile.Mais il faut vite déchanter, prendre la route, sac au dos et marcher, toujours marcher pour oublier ce que l'on a déjà fait, ce que l'on va faire. Il faut attendre que la nature nous prenne et nous ouvre sa voie. C'est une progression incessante, pour de si petites choses".
Roger Dautais . Septembre 2009

Un voyage étonnant au cœur du land Art

lundi 9 novembre 2009





Je suis désolé, c'est encore pour Epamin'
mais promis, je recommencerai plus( oh...les fautes)



"Ne vous bousculez pas, il y en aura pour tout le monde "
Michel Colucci dit "Coluche"

Ce texte, en hommage à sa mémoire,
en amitié pour ses proches, ses amis,
et en toute humilité...
Roger Dautais 10 novembre 2009


DOCU FICTION

LA DISCRIMINATION *

Nous voilà bien.
Vlatty PAA, artiste Temporain, m'envoie, par la poste et en photo, des œuvres dont je ne sais quoi faire. Vous connaissez les artistes, immensément riches et fainéants, comme me le dit justement mon beau-frère qui travaille dans l'éducation Nationale.
lui, monsieur PAA dont je tairai l'origine car je ne veux me compromettre, disons qu'il est un mélange de bon goût, côté Russe et d'erreur, côté Vietnamien, fait dans l'incompréhensible : l'art.
Bon, personnellement, j'ai été élevé dans la peinture et je sais quelle couleur ça a.
Je suis VRP et donc intelligent, bien plus que mon beau-frère Mikelé Martini, qui travaille comme chef dans l'Education Nationale.
J'ai esssayé de peindre, j'y arrive pas. Josiane, ma seconde femme, à cause que la première elle est partie avec un artiste, Josiane femme au foyer ( il faudrait dire au chauffage électrique vu que la cheminée, je l'ai murée avec mon beau-frère pour mettre devant mon aquarium de 5000 litres avec les piranhas) me l'a dit, il y a deux ans quand j'ai voulu repeindre les volets de la salle à manger et que je suis tombé de l'échelle. Six mois d'hôpital.
Et Josiane qui pleurait. Même que mon voisin est venu lui tenir compagnie pendant tout ce temps. Ils sont devenus très proches. C'est normal, faut bien quand même se donner un petit coup de main, entre voisin.
Bref, me parlez pas de peinture ça me rappele mes poulies et mes plâtres. Et justement ce VLATTY PAA, il m'envoie, comme me dit ma feme Josiane, un carton d'invitation au FRAC.
Alors on est allé au FRAC.
Magnifique, le buffet. C'est Hubert Messein, le gendre de mon beau-frère Mikélé Martini, qui l'avait dressé...Non pas mon beau-frère, le buffet. Il est le traiteur du FRAC du CAC de la DRAC
de l'OPAC et de tous les banquets officiels de Gironde où nous habitons du côté de Libourne.
Remarquez que nous, avec Josiane ma seconde épouse, on ,n'est pas de là, on vient d'Alger, on est pieds noirs, comme Bernard, le pharmacien de Libourne Quel grand con celui-là, mais sympa avec Josiane.. On fait tous parti du Front... Eh ! Oui. Avec l'ami Jean Marie, on a l'oeil sur tout ce qui n'est pas Français. Forcément, on aime le blanc, avant tout et moi, quand je vais au FRAC je m' habille en blanc. C'est là qu'a commencé ma haine envers VLATTY PAA.
Ce demi-jaune d'oeuf, comme le surnomme amicalement mon beau-frère qui travaille dans l'EducationNationale, patrie des droits de l'homme, ce citron pas pressé, s'approche de ma femme et se met à l'entreprendre. PAA, c'est un petit mec d'un mètre soixante dix, avec les lunettes ovale. Quel con.
Bon, moi, j'arrive, un mètre quatrevingt sept , 127 kilos à la dernière pesée, à poil, chez le docteur Lafourre, un amai de Josiane, et je lui mets un coup de ventre dans le buffet, à cette demi-portion, histoire de lui dire que je suis le propriétaire de la merveille blanche qu'est ma Josiane. Lui, il s'est poussé de côté et je suis tombé à plat, justement dans les plats de charcuterie de Hubert, le gendre de mon beau frère qui travaille comme chef dans l'Education Nationale.
Josiane, elle m'a beurré la cravatte,( elle l'a même léchée ) en m'essuyant avec sa serviette de papier et vu que moi, en dedans, j'étais pareil, beurré au whisky gratuit, ça n'a pas arrangé les choses. Et ce con à lunettes ovales qui s'excusait en riant.
Ma chemise, on dirait dit du Kandinsky, m'a-t-il lancé. Encore une insulte sans doute dont sont friands ces bâtards d'artistes.
Je suis resté jusqu'à la fin du cocktail onéreux, vu que c'était gratuit et que j'adore la charcuterie d'Hubert. Ils sont tous partis voir les œuvres de l'autre taré. Moi, j'ai dit à Josiane, prends le volant de la BX et direction le château. Je sais pas comment elle s'y est prise, cette conne, en arrivant sur la place de la Mairie de Libourne, elle voit un copain( Josiane a beaucoup de copain, elle est tellement jolie avec ses cheveux longs et sa paire de ...enfin, vos voyez, devant) et, reconnaissante envers lui qui est ausi son coach, elle tourne la tête, oubliant de regarder devant elle.
Vlan qu' ça a fait et même plus. On s'est retrouvés tous les deux au ballon, vu que les flics n'ont jamais voulu entendre notre amitié avec le Maire de Libourne.
Deux grammes cinq pour moi, et un gramme soixante dix pour Josiane quine boit jamais d'alcool, juste du champagne rosé.. Je vous dit pas l'état de notre voiture, une BX blanche, de 1983 à toit ouvrant, ni ce lui de la voiture des flics, ni l'odeur dans ma cellule à la prison de Bordeaux ni tout et tout. Un an ferme pour conduite en état d'ivresse, et des trucs que j'ai pas compris au tribunal. L'avocat était nul, tout ça à cause de flic blessé par l"aile de notre BX. Pourtant, elle en avait passé du temps chez l'avocat, ma femme Josiane qu'elle est belle, pour tout lui expliquer. Même que c'est devenu un ami, lui aussi.

Vous me croirez pas, l'assurance elle a pas marché. Il remboursent plus rien les assurances. L'autre jour on a piqué l'appareil photo de mon beauf', et sa Directrice elle lui a dit: tu seras pas remboursé, y z'aiment pas donner de l'argent pour rembourser, les assurances, alors, vu qu'un appareil photo ça sert à rien, ils remboursent pas.Notez, quand on réfléchit, c'est juste.
Mais comme je ne suis pas chien, je l'ai gardé notre BX et c'est Michel, notre Dog Allemand qui dort dedans au le fond du jardin. Josiane a transformé notre BX en petite maison douillette, pour la journée seulement, car c'est Michel, quel beau chien de garde, qui dort avec Josiane dans notre lit. Moi, je suis à la cuisine, installé dans sa niche pour dormir en rond. Remarquez, y a de la place, même pour un gros et la nuit, j'ai le pinard à portée de main. Pas con, non ?
J'ai encore un procès à venir avec l'artiste Temporain, vu que je l'ai traité, justement d'artiste con, de temoporain, de niakoué, et que j'ai fait jouer mes relations pour qu'il n'expose plus ses conneries en France métropolitaine. Discrimination* que m'a dit l'avocat. Mon avocat, un ami proche de ma femme. Vous vous rendez-compte, même les avocats, en plus, il est Juif, ils se mettent à employer des mots que je ne connais pas.
Je vais y aller au tribunal. J'en ai vu d'autres en Algérie et mon beau frère, il m'a dit, ouvre l'œil et le bon, comme Jean Marie, notre idole, notre maître à penser, notre phare de Cordoue, le sauveur de la France blanche.
C'est pourtant simple la vie. En France il y a trop d'étrangers. Si on virait déjà tous les Bretons, les Basques et les Corses, et même les Auvergnats, on circulerait bien mieux à Paris.
Dimanche on va à un concert de cor de chasse. J'adore ça. Josiane elle s'y est mise et en joue du cor de chasse avec un ami chasseur de Langon. Il m'a dit qu' elle avait le lèvres faite pour ça. Je ne dis rien, je connais pas. Et puis, 3 fois par semaine, elle se rend à ses cours, en mercédes. Je suis fier du cor de Josiane et du copain qui l'astique( le cor, pas ma femme, voyons) avant qu'elle souffle dedans.
Enfin, la vie a repris son cours. J'ai pas revu l'artiste Temporain dans la région. Parait qu'il vivrait entre Moscou et Tien an Men. Qu'on m'a dit...Allez savoir si c'est vrai. Peut être bien des menteries. Nous autres, les gens bien, les propriétaires terriens, ne goûtons que très peu ces gens du voyage, ces artistes temporains qui subvertissent notre belle jeunesse. C'est pas de moi, cette expression, j'ai trouvé ça dans un vieux "Je suis partout".
Ah, c' était quand même autre chose du temps du Maréchal Philippe. Toute cette vermine avait été traitée.
Faudrait une bonne guerre que m'a dit Josiane qui exagère toujours. J'ai dit stop. Trop c'est trop. Je suis pas raciste moi, déjà qu'avec les charters je suis pas d'accord, au prix du Kérosène. A pied moi, que je les renverrai les artistes Temporains pour voir si dans leur pays ils trouvent des gens aussi généreux que moi et ma femme. Tous chez eux et nous chez nous.
Remarquez, c 'est surtout elle qui est généreuse de partout. Même Michel qui n 'est pas une lumière, vu où il travaille comme petit chef, il me l'a dit, ta femme elle a le coeur sur la main et alors qu'est-ce qu'il est gros son cœur, y'a de la place pour un régiment. Pas compris vu quej'y ai pasé ma vie,dans un régiment et ça fait du monde !
J'aurai cinquante cinq ans demain. Ca fait dix ans que je suis à la retraite et je regrette l'armée. J'ai perdu ma famille quand je suis parti du régiment, j'ai perdu mon père, mon colonel, mon idole,un pied noir, un peu bronzé à mon goût. Les copains ils m'avaient offert un pot de départ que j'ai pas vu la fin. Le lendemain, au poste de police, j'ai revu Gérard, un brigadier, un pote qui me faisait sauter toutes les contre dense, un ami de Josiane. Il m'a dit, cette fois je peux rien pour toi, t'es à plus de deux grammes. Et ma bagnole que je lui ai dit. Y'en a plus, il m'a dit, ratatinée, naze.
Vous me croirez pas, moi un ancien du 3ème AirPEIMA, j'ai pleuré comme un enfant de la DDASS le jour de son incorporation (les ingrats).
Je suis fatigué de la retraite, fatigué de ne plus pouvoir faire des cartons, de vider des chargeurs sur les terrains de tir. La vie n'a plus de sens . Si en plus il faut se fader des artistes Temporains, alors là, je dis, non. Vive Patrick Sébastien et pi c'est tout.
Mais je me fâche, faut que j'aille prendre mes gouttes, y parait que j'ai des sautes d'humeur. C'est le pharmacien et ami de Josiane qui lui a donné de quoi me calmer. Çà me calme pas, ça me donne soif. Tu vas ressembler à Depardieu qu'elle m'a dit. Alors là, elle m'a vexé, j'ai jamais eu les cheveux longs. Le ventre, je dis pas. Mais quand mêm, me comparer à un saltimbanque !
Demain,c'est le 11 novembre. J'irai pas au monument aux morts. Y ont mis un noir et un juif en porte drapeau. Ah ! Elle est belle la France, comme me dit le jardinier qui s' occupe des haies de mon jardin, de Josiane et de son petit bonzaï. Y me dit toujours, qui c'est qui arrose le petit bonsaï à Josiane, hein ! en me faisant un clin d'œil.
Les ouvriers sont tous des cons, alors je répond pas, il comprendrait pas.
Bon, c'est pas l' tout, faut que je vais boucher mon cidre.
Salut

P.S. Je sais, je devrais pas être VRP vu que je suis retraité de l'armée, mais j'aime flâner sur les routes de mon beau pays. J'aime les levers de soleil sur les vignes, j'aime le doux bruit des chasseurs qui tirent les palombes et Josiane aussi, elle le aime bien. Elle me dit qu'elle est tranquille quand je suis au travail. Alors, come j'aime ma feme et que j'ai pas envie d'être cocu une deuxième fois, je suis un cumulard. Je sais qu'il me sera beaucoup pardonné par le très haut quand sonnera l'heure ds comptes.

Moïse Clément



Cette texte de commande est sponsorisé par la Sécurité Sociale, la DRAC le Cac, L'ODAC, la traiteur Hubert Messein, la pharmacie Centrale de Libourne, les cartouches Tuenet, le conte Pern Oricar, Le chemin des Grands Jardins, l'hopital de Libourne, la Mairie de Paris, et le Zoo de Vincennes.
Toute ressemblance avec une quelconque Josiane,serait une pûre coîncidence et nous nous en excusons auprès de son mari, héros de ce docu-fiction sans images. Le manque d'humour donne naissance aux barbelés, les barbelés donnent naissance aux frontières, les frontières donnent naissances aux guerres, les guerres donnent naissance aux monuments aux morts, ces cénotaphes me donent des cauchemards Les morts ne reviennent pas vivants de cette boucherie. C'est à eux que je pense ce matin, eux, l'humus de la Nation, eux la terre que nous foulons et qui pleurent de voir les hommes continuer à se combattre sur la planète bleue, sans amitié, sans amour, sans fraternité, pour défendre les intérêts des marchands de canons, de ceux qui ne se battent pas en première ligne sur les théatres d'opération en Afghanistan et ailleurs.

Peace and love

Roger Dautais




Toute ressemblance avec un quelconque artiste de land art ne serait que pure coïncidence. Le portrait de cet homme ci-dessus représenté n'est pas non plus le poète dont on parle en fin de cette chronique journalière, sans prétentions. Les œuvres ont été prêtées par Roger Dautais et détruites par la Manche, il y a bien longtemps.Quant à la 2ème œuvre, longtemps sélectionnée par les sélectionneurs d'œuvres sélectionnées, elle n'a pas résisté à l'usure , finissant par devenir anonyme comme le personnage ci-dessus, lui- même, passablement usé. Fervent lecteur de Pierre Dac, il coule des jours heureux dans un monastère breton du côté de Landevennec.



DOCU-FICTION


Si le mur de Berlin est tombé, grand bien leur fasse à ces tombeurs d'une dictature barbare et sanguinaire. Cependant, il reste encore à faire tomber le mur de la honte. Alors lequel, me direz vous ? Celui que j'ai élevé entre mon frère et moi, mon alter ego, devenu" si différent" qu'il m'est "indifférent".

Pour ceux qui me lisent à vélo, le nez dans le guidon, je n'ai pas de frère.
Je parle de mon frère humain. Ai-je le droit de "paraboler", même sans marcher sur les eaux troubles ?
Le mur de la honte passe par tous les pays et entre tous les pays. Il est rampant, parfois s'élève vers les cieux au nom de Dieu. Il est philosophique et ampoulé, "parisianitude des palabres de titans", puis télévisé pour expliquer que le portage de riz sur l'épaule gauche ( symbole politique) est destiné à capitaliser des rentrées de fonds pour des caisses de résonance, sans fond.
Il est, ce mur de la honte, moins facile à foutre en l'air que le mur de Berlin, quand il met d'un côté les bien-portants et de l'autre côté, les malades. Par exemple les Alzheimers que je côtoie depuis 18 ans de près et dont je peux vous parler quand vous voudrez, il suffit de m'inviter. .
Pensez-vous, braves lecteurs ou croyez vous possible que des personnes bien sous tout rapport possédant de très belles villas sur notre côte, puissent faire "enlever" des vieux, assis sur des bancs, en front de mer, parce que, ils abiment le paysage, dénaturent la société en vacances, par leur accoutrement de pauvre ou parce que les vieux font peur aux enfants ?
Mon dieu que ce blog est incroyable, n'est-ce pas ?
N'est-ce pas plutôt notre société qui est devenue incroyable, avec ce mur de la honte, rampant qui sépare ceux qui ont le droit de ceux qui n'ont pas le droit.
Sûr qu'un jour, si ce mur tombe, les marchands de domino seront milliardaires et moi, je me mettrai sur les rangs pour en peindre un, comme ceux mis en scène à Berlin aujourd'hui pour célébrer le 20ème anniversaire de la chute du mur de la honte.
Mais, ce n'est qu'un rêve, je ne suis qu'un pauvre inconnu prêchant dans le désert, personne ne me laissera approcher des dominos, personne. .

Je suis optimiste, comme mon amie Epamin' dont le nom rime avec vitamines. Alors, vive la chute du mur de Berlin et honneur aux hommes qui eurent le courage de mettre à bas le communisme pratiqué de l'autre côté du rideau de fer.
Ma pensée va aussi à ceux qui, en passant ce mur, y laissèrent leur peau, car ils ne sont plus là pour tenir un blog, eux, ni pour lire celui d'Epamin' , de ses Esperluettes. Allez donc la voir , la visiter, couper du bois et lui offrir pour ces feux de cheminée à venir. La neige approche, Noël, aussi. N'oubliez pas de passer chez Emmanuel Prunevielle, landartiste en progrès constant , et ami, ni chez Grégory Goffin, autre artiste et ami, ni chez Vincent Arbez, autre ami et artiste de qualité. Un carré d'as à découvrir sur google.

Comme on va se fendre la poire cet hiver à la neige entre nous, pendant que les voyous vont tenir les murs dans nos cités.
" à cinq ans...on est voyou ?...ben, tiens, avec leur informatique, tout va très vite, nous en TGV eux, dans la connerie...Ils apprennent vite la nôtre, vous savez et puis il n'y a pas de skis pour tout le monde. Ah, je vous dis...les murs, on n'a pas fini de ...".

Moi, je suis vieux, je fais pas de ski, je fais des fotes de français pour embêter les institutrices qui tiennent de blogs, et j'irai pas à la neige. Je serai avec les voyous, mais je tiendrai pas les murs puisque je commence un film sur la maladie d'Alzheimer et que j'en ai pour 5 mois de taf*, avec 5 personnes : 2 cadreurs, un ingénieur du son, un monteur et un producteur. Film monté en co_production avec LE CHEMIN DS GRANDS JARDINS.
Bon, là, c'est du sérieux et le mur que nous voulons abattre, il est encore plus costaud que le mur de Berlin.C'est celui de l'indifférence, de l'abandon, de la solitude des vieux Alzheimer. Je risque d'avoir besoin de vous, amis de France et d'ailleurs. Faites circuler l'info, s'il vous plait.
Merci Bonne soirée à tous ...

Roger Dautais

*Taf : Travail

Au fait, vous connaissez GUY ALLIX ? sa poésie...son oeuvre...Non ? Tous sur google et découvrez, c'est lui...mon frère.

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Landartiste, photographe, auteur de livres pour enfants, Roger Dautais est aussi un artiste atypique, sensible et attachant.Il a sû, dans la diversité de ses expressions, trouver une harmonie par la pratique quotidienne de cet art éphémère : le Land Art. Il dit "y puiser forces et ressources qui lui permettent, également, depuis de nombreuses années, d'intervenir auprès de personnes en grande difficulté ( Centre de détention pour longues peines et personnes âgées atteintes de la maladie d'Alzheimer) pour les aider par la médiation de l'art.